1944 – N°04 – Mook – À l’assaut du Reich
Il y a 75 ans chutait le régime nazi, disparaissait Hitler et… le monde découvrait l’horreur absolue !
Berlin détruite, le régime nazi écrasé, Hitler disparu, la terrible chute de l’Allemagne s’est accompagnée par la découverte des camps de la mort. « Véritable traumatisme, la révélation de l’horreur absolue a poussé les peuples à hurler : Plus jamais ça ! L’Europe politique est née de cette irrépressible volonté de paix. Et pourtant, dans ce continent martyrisé, meurtri, traumatisé, le mal rôde de nouveau. » écrivent les auteurs du nouveau mook 1944 à paraitre tout début mai 2020.
Dans ce nouveau numéro richement illustré comme les précédents, les lecteurs découvriront des articles et des enquêtes passionnantes dont nous vous donnons un premier aperçu ci-dessous :
HUIS CLOS DANS UN BUNKER, HITLER FACE À SON DESTIN
À l’aide des dernières sources britanniques rendues publiques et des nombreux témoignages aujourd’hui publiés, il est assez aisé de retracer les derniers jours d’Adolf Hitler.
HITLER, DE MYSTÈRE À FANTÔME !
Le battage médiatique actuel au sujet des doutes sur la mort de Hitler poursuit des buts plus commerciaux que historiques. Si la mort du dictateur nazi le 30 avril 1945 dans son bunker ne fait plus aucun doute aujourd’hui, il n’en a pas toujours été ainsi.
LA 2e DIVISION BLINDÉE SUR LE NID D’AIGLE D’HITLER
Une fois de plus, Band of Brother a éludé une partie de la vérité pour laisser la vedette à sa (trop) fameuse Easy Company. Contrairement à ce que laisse penser la série, c’est en réalité la 2e Division blindée du général Philippe Leclerc qui est la première à capturer la « maison de campagne » du Führer.
S’IL N’Y AVAIT PAS EU CHURCHILL…
Pour l’historien François Delpla, l’obstination de Winston Churchill et son refus de tout arrangement séparé avec l’Allemagne nazie ont rendu inéluctable la défaite d’Adolf Hitler, qui, jusque très tard, avait rêvé d’une répartition du monde entre l’Empire britannique et le III. Reich.
LA FILIÈRE DES RATS VERS L’ARGENTINE
Adolf Eichmann, Josef Mengele, Walter Rauff, Erich Priebke, Klaus Barbie, Ante Pavelic, Franz Stangl : les noms s’égrènent comme une liste d’infamie.
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